Batimatech international

 Batimatech international – Transcender les frontières

L’industrie de la construction a un avenir. Et il commence aujourd’hui. Dans cette foulée, Batimatech International donnera le coup d’envoi d’une première édition de ce genre, le 23 février prochain (en mode webinaire) de 9 h à 12 h. L’événement transcendera les frontières canadiennes, afin d’aller voir comment l’usage des technologies avance ailleurs dans le monde, au sein d’une industrie ou certaines nations (dont le Québec) accusent un retard en ce domaine.

La France et le Québec constitueront le centre d’intérêt de cette première édition internationale, qui présentera quelques conférences mettant en exergue des représentants français et québécois. Ces derniers viendront expliquer leur chemin parcouru sur le plan technologique.

 

 

 

 

L’une de ces conférences posera la question suivante : « Le bâtiment doit-il devenir empathique? » Pour répondre à cet enjeu, qui sous-tend l’idée de construire des immeubles à l’écoute de ses occupants, trois invités réputés exposeront leurs vues à ce sujet : René Breyel, président de l’entreprise Claridion et cofondateur d’AloT Canada, Karim Nanaa, directeur du numérique chez VINCI Facilities, ainsi que Jean-Philippe Chouika, responsable du développement des affaires à l’international chez IoThink Solutions.

Pérennité du cadre bâti

Par ailleurs, Lionel Blancard de Lery, Associé chez A26 Architectures, ainsi que Damien David, ingénieur, architecte et « manager » BIM (Modélisation des données du bâtiment) au sein de cette entreprise, feront le bilan des bâtiments intelligents. De son côté, Atelier Monarque Architecture fournira un résumé des grandes lignes nécessaires à « La pérennité du cadre bâti », que ce soit au Québec ou en France.

Un autre grand joueur dans l’industrie de la construction, l’entreprise québécoise Upbrella, nous parlera d’un projet novateur dans l’érection d’une tour, à savoir le Carmelha, à Monaco, dont la construction se fait sans grue. Sans oublier la présence d’un autre acteur important, à savoir l’École des technologies supérieures (ÉTS), qui accueille la Chaire de recherche industrielle sur l’intégration des technologies numériques en construction. Précisons que pendant l’événement, les participants pourront réseauter entre eux et avec les conférenciers.

 

 

 

 

 

Le progrès contribue à faire avancer les choses. Nul ne saurait y faire obstacle, au prix d’un recul, qui découle d’une propension à faire du surplace. Raison pour laquelle Batimatech se veut un stimulateur et un faire-valoir d’idées nouvelles. Pour toute remise en question au regard des façons de faire dans l’industrie, Batimatech se positionne loin devant!